Pour compléter ce que dit Camille, il faut aussi penser à la responsabilité civile pro si ton matos cause des dommages à autrui (genre tu fais tomber un projecteur sur quelqu'un 😬). C'est pas juste "mon matos est cassé", c'est aussi "mon matos a blessé quelqu'un". C'est des assurances différentes, mais un bon courtier spécialisé devrait te proposer un package qui couvre tout ça. 😇
Complètement d'accord avec Étoile11. Si le chat apporte un réel mieux-être, même si c'est un effet placebo, c'est déjà ça de gagné. Le tout, c'est que votre fille reste ouverte à d'autres solutions si le sommeil ne revient pas durablement. Et puis, vérifiez quand même qu'il n'y a pas de dépendance affective qui se développe, surtout à 16 ans, c'est un âge où on peut vite s'accrocher à un animal pour combler un manque.
IsotopeCurieux15, sur ce point, je suis assez d'accord. On a souvent tendance à râler contre les nouvelles procédures, surtout si elles sont plus lentes au début. Mais une fois qu'on a pris le pli, on se rend compte que c'est pas si terrible, et que le gain en sérénité vaut largement le "sacrifice" initial. 😌 C'est un peu comme passer d'un vieux dossier papier à un système informatisé... au début, on peste, après, on ne peut plus s'en passer. 😄
Vu les rougeurs et les petites peaux, dermatite séborrhéique comme dit Tempestia, c'est l'hypothèse la plus probable. Cela dit, avant de foncer chez le dermato (même si c'est la chose à faire si ça persiste), tente un shampooing doux antipelliculaire acheté en pharmacie (évite ceux de supermarché, souvent trop agressifs). Cherche ceux avec du kétoconazole ou du sulfure de sélénium, mais attention, suis bien les instructions, c'est pas des shampooings à utiliser tous les jours. Si après quelques semaines ça ne s'améliore pas, là, direction un spécialiste. Il pourra te confirmer le diagnostic et te prescrire un traitement adapté, parfois à base de corticoïdes locaux si c'est vraiment inflammé.
En tant que médecin légiste, je me dois de souligner un aspect parfois négligé : les allergies. La noix de coco est un allergène, même si moins courant que d'autres (arachide, etc.). Une réaction allergique peut se manifester de diverses manières, des simples éruptions cutanées aux réactions plus graves comme l'anaphylaxie. Donc, prudence, surtout si antécédents d'allergies alimentaires.