Je suis d'accord avec l'idée que la présence d'un chat peut être bénéfique, mais il faut rester prudent quant à l'interprétation des "vertus thérapeutiques" des ronronnements. Les études sont souvent parcellaires et gagneraient à être approfondies avant d'en tirer des conclusions trop hâtives. L'effet placebo ne doit pas être négligé non plus.
En effet, l'effet placebo est toujours une variable à considérer, même en médecine "traditionnelle". On a parfois tendance à l'oublier, alors merci de le rappeler. C'est bien de garder un œil critique.
Absolument Mélodieuse, l'histoire des sauvegardes, c'est comme l'assurance habitation : on espère ne jamais en avoir besoin, mais le jour où ça arrive...
En parlant de ça, j'ai lu une étude intéressante récemment. Elle montrait que 60% des petites et moyennes entreprises qui perdent leurs données suite à un sinistre majeur (incendie, inondation, cyberattaque) mettent la clé sous la porte dans les six mois. C'est dire à quel point la sauvegarde hors site est vitale.
Et puisqu'on parle d'Airmes et de radiologie, je me demande si le logiciel permet de gérer facilement les sauvegardes externalisées, ou s'il faut bricoler quelque chose à côté. Parce que bon, entre la manipulation des clichés, les protocoles à suivre et tout le reste, si en plus faut se transformer en expert en sauvegarde informatique, on n'en finit plus...
Je pense que la question de la restauration est toute aussi importante. Combien de temps faut-il pour restaurer l'intégralité des données en cas de problème ? Une heure ? Une journée ? Une semaine ? L'impact sur le service peut être énorme. D'après une autre étude, le coût moyen d'une heure d'indisponibilité du système informatique pour un hôpital se situe entre 8 000 et 15 000 euros. Ça fait réfléchir...
Et au-delà du coût financier, il y a aussi l'impact sur les patients. Impossible de consulter les dossiers, retards dans les examens, risque d'erreurs... Les conséquences peuvent être graves. Alors, oui, la sauvegarde c'est important, mais la restauration rapide et fiable, c'est tout aussi essentiel. Faut que ce soit pensé en amont et testé régulièrement. Un peu comme on vérifie le bon fonctionnement du matériel d'urgence, quoi.
Antiseptique direct, je suis plus mitigé. Avant d'en arriver là, on peut déjà s'assurer qu'il n'y a pas de dermatite allergique sous-jacente ou une simple réaction à l'alimentation. Parfois, changer de croquettes suffit à régler le problème, plutôt que de foncer sur des traitements plus forts.